l'accès à l'or bleu (eau source de vie ou la vie)

Les ressources en eau constituent un bien naturel contribuant à la survie de toute espèce vivante sur terre, en sommes sans eau il n’y a pas de vie. Alors, pourquoi ne sommes-nous  pas tout simplement     reconnaissant envers la nature car elle nous donne gratuitement ? La cupidité ; l’incivisme ; le non-respect, l’ignorance de l’homme vis-à-vis des ressources naturelles, le pousse à mener des activités sans évaluer les conséquences (voir schéma ci-dessous). Je dirais aussi que nous n’avons aucune notion de la gestion car nous restons encore dans le système de l’économie linéaire qui a pour but de produire, consommer, polluer et jeter. Il est important de savoir que plus nous polluons, plus nous dépensons, plus il y a des risques de maladies et rien est rentable dans ce système. Chaque citoyen a donc une part de responsabilité   dans la gestion des ressources en eau. Il ne s’agit pas d’agir aujourd’hui et regretter,   mais plutôt   d’agir aujourd’hui tout en anticip

Triste est de constater que les objectifs  du millénaire pour le développement (OMD),  qui impliquait  de réduire de moitié la population mondiale, ne disposant pas d’un accès à proximité à l’eau potable s’avèrent être un échec ( avis personnel ).  Le passage de l’OMD aux ODD a- t-il permit de contribuer au  droit dont a besoin chaque individu selon les recommandations de l’OMS ? Le droit de bénéficier de 20 l d’eau /jour/personne ? Triste est de constater à nouveau, que les outils du développement durable qui pourrait favoriser une meilleure gestion de nos ressources ne sont pas mis en pratique ( avis personnel ). Mes constats viennent du fait que : -     -  en 2015, on comptait 748 millions de personnes dans le monde qui n’ont pas d’accès à une source d’eau potable sûre. Et 2,5 milliards sont dépourvus d’infrastructures sanitaires de base (PNUD, 2015) ; -     -   en 2017, on comptait 2,1 milliards de personnes qui n’ont pas d’eau potable à domicile selon le rappo

 La population rurale est l'une des populations les plus vulnérables face aux maladies hydriques. Celle-ci est en marge de l'éducation et de la sensibilisation sur les risques de consommer une eau insalubre. Il est bien de mettre en place un projet d'approvisionnement en eau potable, mais ce projet est voué à l’échec si la population est elle-même source de contamination de cette eau. Sa mauvaise gestion des citernes ou récipient de conservation d'eau font preuve de son ignorance quant aux  risques liés à l'eau insalubre. Pourtant, l'OMS dans son rapport du 26 juin 2008 estime  que l'eau sale est à l'origine de 9,1%  des maladies et 6% canari pour stocker l'eau de boisson  des décès enregistrés chaque année dans le monde. Alors, le plus difficile n'est pas toujours de trouver de l'eau ni même de construire des ouvrages. Mais, Il est d'intégrer une démarche qui permettra à la population d'adopter les gestes  qui garantiro